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Petit Oncidium qui fleuri très régulièrement en culture in vitro.
Atelier Origami pour confectionner des petites pochettes en papier afin de conserver dans de bonnes conditions les graines récoltées.
Le fichier PDF avec les explications et une trame à découper ici.
Cette année, j'ai décidé de mettre l'accent sur la sélection de cultivars aux caractéristiques bien particulières.
Pas question pour moi de rivaliser avec les noms déposés, juste l'envie de faire des potées homogènes.
Hypochromes, hyperchrome, prostrés, érigés...
L'avantage de partir avec des plantes in vitro est la certitude d'obtenir les mêmes individus (clones) de façon quasi illimitée.
Première étape réalisée en Décembre, sélectionner les pieds prometteurs et les repiqués individuellement dans un milieu propice à la multiplication.
Quelques sortis de flacons.
Hybrides primaires de Phalaenopsis et Chiloschista lunifera.
La culture in vitro est la seule technique qui permette de garantir la couleur des fleurs des Adenium grâce à la technique de clonage.
En effet, les plantes issues de graines produisent des fleurs de couleurs aléatoires.
Un Ophrys que l'on peut rencontrer du Monténégro au sud-ouest de la Turquie.
Six mois de culture in vitro séparent la première et la dernière photographie.
Plantes aquatiques.
Essai concluant avec deux espèces de plantes aquatiques, Ammania sp Bonsai et ludwigia repens.
Milieu de culture semi liquide (4,5 g d'agar agar) et beaucoup de Fer chélaté.
La graine, les feuilles et maintenant les racines.
L'un des avantages de la culture in vitro est la certitude de n'avoir qu'une seule espèce dans le pot de culture. Ici, pas de subulata.
Serapias lingua.
Quelques espèces d'orchidées terrestres ont la faculté de produire deux pseudo-tubercules par ans. C'est le cas d'Ophrys bombyliflora et des trois Serapias présents en France.
La photographie ci-dessous montre ce phénomène en culture in vitro.